Vendredi 15 octobre 2021

Recommandations pour l’organisation de l’accueil temps libre (ATL)

Rentrée 2021-2022
ACTIVITÉS NON RÉSIDENTIELLES ET RÉSIDENTIELLES
Dans le cadre de la crise sanitaire COVID-19

Ces recommandations remplacent le protocole vacances d’été 2021 du 30/07/2021 et entrent en vigueur le 1er septembre 2021.

1. Organisation des activités

A partir du 1er septembre 2021, il n’y a plus de restriction concernant la taille des groupes. La notion de bulle disparait. L’encadrement des activités est organisé selon les normes en application avant la
pandémie.
La présence de tiers lors des activités est autorisée pour toute personne prenant part à la mise en œuvre du projet pédagogique tout en continuant à respecter la distanciation physique et le port du masque à l’intérieur. Le maintien de quelques règles de prudence est préconisé, en tenant compte des différences régionales pour certaines.

a. Accueil des participants et de leurs proches
Tous les proches des participants (famille, personne responsables) peuvent être accueillis sur le lieu d’activité. A Bruxelles, il est recommandé d’accueillir les parents à l’extérieur et de limiter autant que possible l’accueil à l’intérieur.

b. Organisation des repas
Des repas chauds ou froids peuvent à nouveau être servis de manière habituelle. Ils sont soit apportés par le participant soit préparés et servis par l’opérateur. Le système de self-service peut être remis en place.

Quelques points d’attention cependant :
– il est recommandé d’essayer, autant que faire se peut, de ne pas mélanger les groupes lors des repas ;
– une attention particulière sera portée à la ventilation et à l’aération des locaux ;
– le lavage des mains avant et après le repas ;
– le nettoyage des tables avant et après les repas.

c. Activités extra-muros
Les activités extra-muros d’une ou plusieurs journées sont autorisées.
Les participants et les encadrants respectent les mesures applicables dans la société pendant cette période dans toutes les situations. Ils respectent aussi le protocole du lieu visité (musées,
piscines, zoo, parc d’attractions…).

d. Activités résidentielles
e. Organisation des activités physiques et sportives
Toutes les activités physiques et sportives, natation y compris, peuvent être pratiquées par les
enfants et les jeunes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. La pratique d’activités physiques et
sportives en plein air sont encouragées.
f. Organisation des transports
Le transport des participants est autorisé.
Lors de l’utilisation des transports en commun les règles en vigueur de la société de transport
sont respectées.

2. Mesures sanitaires

En collectivité, certaines mesures simples sont efficaces pour freiner la transmission des virus et
bactéries. Aussi longtemps que le virus de la COVID-19 circulera, il est indispensable de continuer à appliquer les 6 règles d’or.

Respectez les règles d’hygiène
Pratiquez vos activités de préférence à l’extérieur
Pensez aux personnes vulnérables
Gardez vos distances (1m50)
Limitez vos contacts rapprochés
Suivez les règles sur les rassemblements

a. Règles d’hygiène de base
– N’oubliez pas de porter votre masque de protection (couvrant le nez et la bouche) dans les lieux où celui-ci est nécessaire ou obligatoire.
– Le lavage des mains se fera prioritairement au savon et pendant minimum 30 secondes. Il est recommandé au minimum au début et à la fin de l’activité, avant et après les repas et à chaque passage aux toilettes. À défaut de savon, les nettoyants pour les mains à base d’alcool sont aussi efficaces. Ces nettoyants sont à éviter chez les participants de moins de 12 ans.
– Toux et éternuements :

• se couvrir le nez et la bouche d’un mouchoir en papier ou, à défaut, utiliser le pli du coude.
• utiliser chaque mouchoir qu’une seule fois, le jeter dans une poubelle fermée.
• bien se laver les mains.

b. Distanciation physique et port du masque
Les mesures recommandées ici sont similaires à celles de l’Enseignement, dans une
recherche cohérence pour l’accueil extrascolaire et les écoles de devoirs.

c. Hygiène des locaux
– Afin d’améliorer le bien-être des enfants et de limiter la propagation des bactérie et virus, une attention particulière sera portée à l’hygiène des sanitaires (toilettes, lavabos…).
– Les locaux seront nettoyés de manière habituelle.
– La désinfection est nécessaire :

• Dans le local occupé par un cas positif à la COVID-19
• Dans le local d’isolement qui a accueilli un cas positif à la COVID-19
• Sur les surfaces souillées par des liquides biologiques (sang, selles, urines, vomissements…)

d. Aération et ventilation des locaux
• Ouvrez les fenêtres et/ou les portes extérieures si possible. L’ouverture des fenêtres ou des portes extérieures contribue à une meilleure ventilation et doit donc être utilisée dans la mesure du possible, de cette façon vous créez un flux d’air frais. Si ces ouvertures sont relativement grandes par rapport à la taille des pièces, il n’y aura qu’un faible risque de concentration de CO2 trop élevée.
• Aérez les locaux aussi souvent que possible : ouvrez les fenêtres et les portes avant les
activités (10 à 15 minutes), aux pauses (5 minutes minimum), et après les activités (10 à 15 minutes) ;
• Aérez pendant le nettoyage, lorsqu’un autre groupe de personnes va occuper un local occupé auparavant ;
• Maintenez les fenêtres entrouvertes (au moins deux s’il y en a plusieurs) pendant les activités et pleinement ouvertes pendant les pauses ;
• Si des aérateurs de fenêtres sont présents (p.ex. des grilles), veillez à ce qu’ils soient opérationnels et ouverts ;
• Si des mécanismes de circulation d’air entre locaux ou entre locaux et couloir sont présents, veillez à ce qu’ils soient opérationnels et dégagés (exemple à éviter : armoire devant une grille d’aération…).

3. Recommandations pour l’organisation de la santé

Le responsable de la santé et des soins, sur le site d’activités, est chargé de la coordination et de la cohérence de la gestion de la santé. Il est désigné pour s’occuper en priorité de la boîte de soins, de l’infirmerie, des fiches de santé, du carnet de soins et des soins.

Dans la gestion des situations nécessitant un suivi ou une intervention extérieure, il est le relais avec le pouvoir organisateur et les parents.

Il est vivement conseillé que cette personne soit également le coordinateur COVID pour plus de clarté dans le fonctionnement de l’activité et pour une meilleure identification du rôle de chacun. En cas de suspicion de cas COVID, l’opérateur doit se référer au protocole de « Gestion de cas ATL » publié sur le site de l’ONE.

 Nous vous remercions pour votre accompagnement des enfants et des jeunes dans leurs temps libres et vous rappelons que pour vous aider à la mise en œuvre des recommandations et à l’analyse des situations rencontrées, la cellule COVID de l’ATL à l’ONE peut être contactée via le formulaire en ligne sur le site ONE :

www.one.be/professionnel/coronavirus/gestion-de-cas-covid-19-atl/

Gestion de cas COVID-19 consignes et informations pour les opérateurs de l’Accueil Temps Libre – septembre 2021

1. Enfants appartenant à un groupe à risque

Certains enfants sont plus susceptibles de développer une forme sévère de COVID-19. Des groupes à risque ont été identifiés par les associations professionnelles de pédiatrie belges qui ont édicté des lignes directrices permettant aux médecins traitants de prendre la décision, en concertation avec les parents et/ou les soignants impliqués, d’autoriser les enfants à fréquenter – ou non – l’école, les activités… Les parents dont l’enfant présente une maladie chronique grave sont invités à consulter leur médecin traitant ou spécialiste pour avis.

2. Un enfant ou un encadrant présente des symptômes

Etant donné que les symptômes liés au COVID-19 sont peu spécifiques, il est important de rappeler que les enfants ne se plaignant que d’un rhume sont autorisés à participer aux activités de l’accueil temps libre. A cet effet, vous trouverez ci-dessous une symptomatologie plus adaptée aux enfants :

a. Les enfants présentant des symptômes doivent rester à domicile et contacter leur médecin traitant
– Fièvre (38° et plus) sauf si la cause de la fièvre est connue comme par exemple après la vaccination
Toux ou difficulté respiratoire : les plaintes connues (par exemple chez des enfants qui ont de l’asthme) ne comptent pas SAUF si elles s’aggravent soudainement
– Rhume avec possible petite toux accompagnatrice et éternuements ET autres symptômes (telles que douleurs musculaires, fatigue inhabituelle, maux de gorge, maux de tête ou manque d’appétit)
– Altération du goût ou de l’odorat.

Les enfants se plaignant d’un rhume ou d’un nez qui coule à cause d’allergies peuvent aller à l’accueil

b. Les adultes présentant des symptômes doivent rester à domicile et contacter leur médecin traitant
Un adulte doit rester à domicile et ne peut pas venir animer/encadrer l’accueil ou l’activité s’il est malade ou présente :
• Au moins un des symptômes majeurs suivants d’apparition aiguë, sans autre cause évidente :

o toux
o difficultés respiratoires
o douleur thoracique
o perte de goût et/ d’odorat sans cause apparente

OU
• Au moins deux des symptômes mineurs suivants, sans autre cause évidente :

o fièvre
o douleurs musculaires
o fatigue
o rhinite (encombrement ou écoulement nasal)
o maux de gorge
o maux de tête
o perte d’appétit
o diarrhée aqueuse

OU
• Une aggravation de symptômes respiratoires chroniques (asthme, toux chronique…), sans autre cause évidente.

En cas d’apparition de symptôme(s) à l’accueil
En cas d’apparition de symptômes chez un enfant pendant la présence à l’accueil :
– L’enfant doit être isolé des autres dans l’espace dédié (medical room) ;
– Ses parents doivent être contactés immédiatement pour venir le récupérer ;
– Un adulte de l’accueil s’enquiert régulièrement de son état de santé auprès de lui (toujours le même si possible), en portant un masque et en se lavant les mains à l’eau et au savon ou gel hydroalcoolique après la visite ;
– Après le départ d’un enfant malade, cet espace doit être aéré et désinfecté ;
– Les parents devront contacter le médecin traitant qui jugera s’il y a lieu de réaliser un test PCR et si l’enfant peut fréquenter l’accueil ou non ;
– L’enfant pourra retourner à l’accueil en fonction de l’évaluation faite par son médecin traitant ou du résultat du test.

3. Un enfant du groupe d’activité temps libre répond à la définition d’un cas possible de COVID-19

Lorsqu’un enfant répond à la définition d’un cas possible de COVID-19 :
L’enfant fréquentant l’école maternelle, primaire ou secondaire

Contact est pris par ses parents avec son médecin traitant.
Il est isolé à la maison et le médecin évalue la nécessité ou non d’effectuer un test (pour les enfants fréquentant l’école maternelle, les tests sont réalisés exceptionnellement et ne sont recommandés que dans certains cas). En cas de test, l’isolement se poursuit jusqu’au résultat.
S’il n’y a pas de test effectué, l’enfant peut revenir à l’accueil sur base de l’évolution de son état de santé, déterminé par son médecin. Il n’y a pas de quarantaine.

Si un test est effectué et qu’il est négatif, il peut revenir à l’accueil sur base de l’évolution de son état de santé, déterminé par son médecin.

Si un test est effectué et qu’il est positif, il reste en isolement à la maison et peut revenir à l’accueil 10 jours après l’apparition des symptômes ET s’il n’a pas de fièvre les 3 derniers jours et qu’il y a amélioration significative des symptômes.

Aucun certificat d’autorisation de fréquentation de l’accueil délivré par un médecin n’est nécessaire.

Conséquences pour la collectivité pour les enfants fréquentant l’école maternelle et primaire et pour les encadrants

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)
• Si un (et un seul) enfant fréquentant l’école maternelle ou primaire est un cas de COVID-19 confirmé et qu’il a fréquenté l’activité pendant la période de contagion, tous les enfants du groupe ainsi que l’encadrant sont considérés comme des contacts à bas risque.

• Il n’y a pas de test ni de quarantaine pour les autres enfants et l’encadrant du groupe mais une information doit être transmise aux parents (cf. les lettres-type).
• Les personnes concernées doivent éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques) durant 14 jours après le dernier contact.
• Il faut surveiller l’apparition éventuelle de symptômes durant 14 jours chez les enfants et adultes avec lesquels il a été en contact et respecter les mesures d’hygiène. En cas d’apparition de symptômes compatibles avec le COVID-19, la personne doit contacter son médecin généraliste et être testée (tant les enfants que les adultes).

Si un second cas positif est déclaré dans le groupe endéans les 14 jours (voir « c) mesures à partir de 2 cas COVID-19 positifs confirmés (cluster) » )
• Il n’y a pas d’autres mesures à prendre. Les activités peuvent se poursuivre.

Conséquences pour la collectivité pour les enfants fréquentant l’école secondaire et pour les encadrants

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)
Si un jeune fréquentant l’école secondaire est un cas de COVID-19 confirmé et qu’il a fréquenté l’activité pendant la période de contagion :
1. Si la distance physique (>à 1,5m) a bien été respectée,

OU si les personnes qui ont passé plus de 15’ ensemble, à une distance inférieure à 1,5m portaient toutes adéquatement un masque (en tissu ou chirurgical) qui couvre à la fois le nez et la bouche, les autres jeunes du groupe, l’encadrant et les autres groupes sont contacts à bas risque.
 Il n’y a pas de test ni de quarantaine mais une information doit être transmise aux parents (cf. les lettres-type).

 Les personnes concernées doivent éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques) durant 14 jours après le dernier contact.

 Il faut surveiller l’apparition éventuelle de symptômes durant 14 jours chez les jeunes et les adultes avec lesquels il a été en contact (= période d’incubation potentielle) et respecter les mesures d’hygiène.

• Il n’y a pas d’autres mesures à prendre. Les activités peuvent se poursuivre.

  1.   Si la distance physique (< 1,5 m) n’a pas été respectée pendant plus de 15 minutes
    ET que les personnes ne portaient pas toutes adéquatement un masque (en tissu ou chirurgical) qui couvre à la fois le nez et la bouche (cela inclut par exemple les amis avec lesquels on a mangé et où la distance n’a pas été respectée), ou s’il y a eu un contact direct avec un cas confirmé de COVID-19, par exemple lors d’une embrassade, ou qui a été en contact direct avec des fluides corporels, comme par exemple la salive lors d’un baiser : les jeunes et l’encadrant dans le cas sont des contacts à haut risque.

 

● Ils doivent se mettre immédiatement en quarantaine pendant 10 jours à compter du dernier contact à risque avec la personne positive. Ils sont testés deux fois, même s’ils sont complètement vaccinés : dès que possible et au J7.

●Si un jeune ou un encadrant devient symptomatique, il faut suivre la procédure « enfant/encadrant symptomatique ».

●Dans tous les cas (vacciné ou non) : si le résultat d’un test est positif : le jeune/encadrant doit rester en isolement à domicile pendant 10 jours à compter de la date de prélèvement du test. Il devient un cas confirmé et la détection de ses contacts les plus proches est lancée.

 

2.1. Si le jeune/l’encadrant est entièrement vacciné :

● Un premier test doit être réalisé le plus rapidement possible après identification.

● Si le test 1 est négatif : la quarantaine s’arrête. Un second test est effectué au plus tôt le septième jour après le jour du dernier contact à haut risque (= J0).

● En l’absence de test (ou de résultat de test au jour 10), la quarantaine s’arrête au 11ème jour après le dernier contact à risque.

● Comme la période d’incubation peut s’étendre jusqu’à 14 jours, il faut poursuivre la vigilance pendant 14 jours à partir du dernier contact à risque (même quand la quarantaine a été levée) :

– surveillance des symptômes
– respect des mesures d’hygiène
– éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

 

2.2. Si le jeune/l’encadrant n’est pas ou pas complètement vacciné

 

● Un premier test doit être réalisé le plus rapidement possible (<72h après le contact)

● Si le test 1 est négatif : la quarantaine se poursuit et un second test à J7 doit être effectué. La quarantaine peut être levée si le résultat du test à J7 est négatif.

● En l’absence de test (ou de résultat de test au jour 10), la quarantaine s’arrête au 11ème jour après le dernier contact à risque.

● Comme la période d’incubation peut s’étendre jusqu’à 14 jours, il faut poursuivre la vigilance pendant 14 jours à partir du dernier contact à risque (même quand la quarantaine a été levée) :

– surveillance des symptômes
– respect des mesures d’hygiène
– éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

 

2.3. Si le jeune/l’encadrant dispose d’un certificat de rétablissement

 

● Si un jeune/encadrant a présenté une infection récente au COVID-19, confirmé par test PCR (avec certificat de rétablissement), il ne doit pas réaliser de quarantaine, ni de tests. Néanmoins, un test doit être réalisé s’il développe des symptômes.

  1. Un encadrant répond à la définition d’un cas possible de COVID-19

– Si un encadrant présente des symptômes et répond à la définition de cas possible COVID-19, il doit s’isoler immédiatement, contacter son médecin généraliste et se faire tester.
– Si le test est positif, c’est un cas confirmé. Il doit être isolé à domicile durant 10 jours. Il doit le signaler à l’opérateur d’accueil afin que le tracing des enfants/jeunes puisse démarrer.

Conséquences pour la collectivité pour les enfants fréquentant l’école primaire

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)

Préalable

Le groupe est généralement considéré comme haut risque : la distance n’est généralement pas respectée entre l’adulte et les enfants et une évaluation individuelle est souvent difficile dans la pratique.

Si une évaluation individuelle est faisable et que l’on peut identifier les contacts bas risques et les contacts haut risques, les mesures ci-dessous sont d’application.

Si un encadrant est un cas de COVID-19 confirmé et qu’il a fréquenté l’activité pendant la période de contagion :

  1. Pour les personnes identifiées comme bas risque

● Il n’y a pas de test ni de quarantaine pour les enfants et encadrants du groupe identifiés comme bas risque mais une information doit être transmise aux parents (cf. les lettres-type).

● Les personnes concernées doivent éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques) durant 14 jours après le dernier contact.

● Il faut surveiller l’apparition éventuelle de symptômes durant 14 jours chez les enfants et adultes avec lesquels il a été en contact et respecter les mesures d’hygiène. En cas d’apparition de symptômes compatibles avec le COVID-19, la personne doit contacter son médecin généraliste et être testée (tant les enfants que les adultes).

Si un second cas positif est déclaré dans le groupe endéans les 14 jours (voir « c) mesures à partir de 2 cas COVID-19 positifs confirmés (cluster) » )

 Il n’y a pas d’autres mesures à prendre. Les activités peuvent se poursuivre.

 

  1. Pour les personnes identifiées comme haut risque

 

● L’enfant considéré comme contact étroit doit se mettre immédiatement en quarantaine pendant 10 jours à compter du dernier contact à risque avec la personne positive. Il est testé le plus rapidement possible et reste en quarantaine jusqu’au résultat du test.

● Si l’enfant devient symptomatique, il faut suivre la procédure « enfant/encadrant symptomatique ».

● Si le résultat d’un des tests est positif : l’enfant doit rester en isolement à domicile. Il devient un cas confirmé et la détection de ses contacts les plus proches est lancée

● Si le test à J1 est négatif : la quarantaine se poursuit et un second test est effectué au plus tôt le septième jour après le jour du dernier contact à haut risque (= J0).

● Si le contact est identifié plus tard que 72 heures après le contact à risque, un seul test est réalisé, au moins 7 jours après le jour du dernier contact à risque.

● En l’absence de test (ou de résultat de test au jour 10), la quarantaine s’arrête au 11ème jour après le dernier contact à risque. La quarantaine de 10 jours est suivie d’une période de 4 jours de vigilance.

● Si le résultat du deuxième test est également négatif, la quarantaine peut être levée dès que le résultat du test est obtenu (au moins 7 jours après le dernier contact à haut risque). Les enfants peuvent reprendre l’ensemble de leurs activités.

 

● Comme la période d’incubation peut s’étendre jusqu’à 14 jours, il faut poursuivre la vigilance pendant 14 jours à partir du dernier contact à risque (même quand la quarantaine a été levée) :

– surveillance des symptômes
– respect des mesures d’hygiène
– éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

 

● L’adulte considéré comme contact étroit suit les règles en vigueur dans la société en général :

 ● Entièrement vacciné :

o quarantaine
o tests le plus rapidement possible après identification et au J7
o arrêt de la quarantaine si le test 1 est négatif
o test en cas d’apparition de symptômes

● pas ou pas complètement vacciné :

o quarantaine
o tests le plus rapidement possible (max. 72h après le dernier contact)
o arrêt de la quarantaine si le test à J7 est négatif

● certificat de rétablissement : pas de quarantaine ni de test sauf en cas de symptômes

 

Conséquences pour la collectivité pour les enfants fréquentant l’école secondaire

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)

Si un encadrant est un cas de COVID-19 confirmé et qu’il a fréquenté l’activité pendant la période de contagion :

  1. Si la distance physique (>à 1,5m) a bien été respectée,

OU si les personnes qui ont passé plus de 15’ ensemble, à une distance inférieure à 1,5 m portaient toutes adéquatement un masque (en tissu ou chirurgical) qui couvre à la fois le nez et la bouche, les autres jeunes du groupe, l’encadrant et les autres groupes sont contacts à bas risque.

● Il n’y a pas de test ni de quarantaine mais une information doit être transmise aux parents (cf. les lettres-type).

● Les personnes concernées doivent éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques) durant 14 jours après le dernier contact.

● Il faut surveiller l’apparition éventuelle de symptômes durant 14 jours chez les jeunes et les adultes avec lesquels il a été en contact (= période d’incubation potentielle) et respecter les mesures d’hygiène.

● Il n’y a pas d’autres mesures à prendre. Les activités peuvent se poursuivre.

 

  1. Si la distance physique n’a pas été respectée pendant plus de 15 minutes


    ET
    que les personnes ne portaient pas toutes adéquatement un masque (en tissu ou chirurgical) qui couvre à la fois le nez et la bouche (cela inclut par exemple les amis avec lesquels on a mangé et où la distance n’a pas été respectée), ou s’il y a eu un contact direct avec un cas confirmé de COVID-19, par exemple lors d’une embrassade, ou qui a été en contact direct avec des fluides corporels, comme par exemple la salive lors d’un baiser : les jeunes et l’encadrant dans le cas sont des contacts à haut risque.

● Ils doivent se mettre immédiatement en quarantaine pendant 10 jours à compter du dernier contact à risque avec la personne positive. Ils sont testés deux fois, même s’ils sont complètement vaccinés : dès que possible et au J7.

● Si un enfant ou un encadrant devient symptomatique, il faut suivre la procédure « enfant/encadrant symptomatique ».

● Dans tous les cas (vacciné ou non) : si le résultat d’un test est positif : le jeune/encadrant doit rester en isolement à domicile pendant 10 jours à compter de la date de prélèvement du test. Il devient un cas confirmé et la détection de ses contacts les plus proches est lancée.

 

5.1. Si le jeune/l’encadrant est entièrement vacciné :

 

● Un premier test doit être réalisé le plus rapidement possible après identification.

● Si le test 1 est négatif : la quarantaine s’arrête. Un second test est effectué au plus tôt le septième jour après le jour du dernier contact à haut risque (= J0).

● En l’absence de test (ou de résultat de test au jour 10), la quarantaine s’arrête au 11ème jour après le dernier contact à risque.

Comme la période d’incubation peut s’étendre jusqu’à 14 jours, il faut poursuivre la vigilance pendant 14 jours à partir du dernier contact à risque (même quand la quarantaine a été levée) :

– surveillance des symptômes
– respect des mesures d’hygiène
– éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

 

5.2. Si le jeune/l’encadrant n’est pas ou pas complètement vacciné

 

● Un premier test doit être réalisé le plus rapidement possible (<72h après le contact)

● Si le test 1 est négatif : la quarantaine se poursuit et un second test à J7 doit être effectué. La quarantaine peut être levée si le résultat du test à J7 est négatif.

● En l’absence de test (ou de résultat de test au jour 10), la quarantaine s’arrête au 11ème jour après le dernier contact à risque.

● Comme la période d’incubation peut s’étendre jusqu’à 14 jours, il faut poursuivre la vigilance pendant 14 jours à partir du dernier contact à risque (même quand la quarantaine a été levée) :

– surveillance des symptômes
– respect des mesures d’hygiène
– éviter tout contact avec des personnes à risque de développer des formes plus sévères de la maladie (p.ex. les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

 

5.3. Si le jeune/l’encadrant dispose d’un certificat de rétablissement

 

● Si un jeune/encadrant a présenté une infection récente au COVID-19, confirmé par test PCR (avec certificat de rétablissement), il ne doit pas réaliser de quarantaine, ni de tests. Néanmoins, un test doit être réalisé s’il développe des symptômes.

 

  1. Mesures pour les enfants cohabitants d’un cas COVID-19

Les enfants étant contact d’un cas positif dans le ménage (parents ou autres cohabitants) sont considérés comme des contacts étroits et suivent les mesures décrites plus haut.

Conséquences pour la collectivité pour les enfants fréquentant l’école maternelle, primaire et secondaire

Les enfants/encadrants sont des contacts de contacts :

– Il n’y a aucune mesure à prendre.
– Le groupe poursuit normalement son activité

  1. Mesures à partir de 2 cas COVID-19 positifs confirmés (cluster)

Les enfants fréquentant l’école maternelle et primaire

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)

S’il y a un cas confirmé enfant dans un groupe d’enfants et qu’un autre enfant/adulte du groupe développe des symptômes compatibles avec le COVID-19 dans la période de 14 jours après le 1er cas, il sera testé.

● Si ce deuxième cas est positif, et qu’on suspecte que la transmission se soit faite au sein du groupe (pas de source de transmission autre pour cet enfant), il s’agit d’un cluster et le groupe est mis en quarantaine (tous les enfants ainsi que l’encadrant) pendant 10 jours. L’ensemble du groupe (encadrant et enfants) doit être testé le plus rapidement possible (<72h) et au 7ème jour après le dernier contact à risque.

 

● Si un enfant ou un encadrant devient symptomatique, il faut suivre la procédure « enfant/encadrant symptomatique ».

● Enfants : la quarantaine s’arrête si le résultat du test au J7 est négatif

● Adultes : règles en mesure dans la société en général

-entièrement vacciné :

● quarantaine

● tests le plus rapidement possible après identification et au J7

● arrêt de la quarantaine si le test 1 est négatif

-pas ou pas complètement vacciné :

● quarantaine

● tests le plus rapidement possible (max. 72h après le dernier contact)

● arrêt de la quarantaine si le test à J7 est négatif

 

● certificat de rétablissement : pas de quarantaine ni de test sauf en cas de symptômes

Le responsable de la santé ou le référent COVID informe le plus rapidement possible l’AVIQ ou la COCOM par mail.

Les jeunes fréquentant l’école secondaire

Information à transmettre aux parents (cf. lettres-type)

Lorsqu’un cas est confirmé dans un groupe, on différencie les contacts étroits des contacts à faible risque. Les contacts étroits sont mis en quarantaine 10 jours et feront un test le 1er et le 7ème jour à compter du dernier contact à risque.

Dès l’apparition d’un deuxième cas, dans les 14 jours ayant suivi le premier, le responsable de la santé contacte l’AVIQ ou la COCOM pour l’analyse de la situation.

● Si le deuxième cas fait partie des contacts étroits du premier cas : un nouveau processus de suivi des contacts est initié (on cherche les contacts étroits du 2ème cas). L’ensemble du groupe ne doit pas être mis en quarantaine.

 

● Si le 2ème cas positif n’est pas un contact à haut risque du 1er cas positif, il faut rechercher une autre source possible de transmission pour les 2 cas positifs, en dehors du groupe. Si une source possible de transmission en dehors du groupe est identifiée pour les 2 cas (p.ex. l’un a été infecté à son club sportif, et l’autre par un cousin), on ne considère pas qu’il y ait un cluster dans le groupe. Les contacts étroits seront recherchés pour tous les deux. L’ensemble du groupe ne doit pas être mis en quarantaine.

 

● Si le 2ème cas positif n’est pas un contact à haut risque du 1er cas positif, et si on n’identifie pas d’autres sources possibles de transmission en dehors du groupe, une transmission au sein du groupe est alors suspectée, et l’ensemble des jeunes de ce groupe sera placé en quarantaine (et testé selon les mesures pour les contacts étroits).

Une fois contact pris et la situation analysée, une information doit être transmise aux parents quant aux mesures à prendre (cf. lettres-type).

 

  1. Situation d’enfants contacts de contacts

Un enfant qui est en contact (à l’accueil, dans le ménage) avec une personne qui est elle-même un contact étroit asymptomatique poursuit normalement ses activités. Il peut donc venir à l’activité, participer à l’accueil. Il n’y a aucune mesure particulière à prendre.

 

  1. Recherche des contacts (tracing)

 RECHERCHE DES CONTACTS (TRACING)

  1. a) Accueil extrascolaire se déroulant dans une école en période scolaire :

Les situations sont gérées par les PSE, qui se réfèrent à la « Procédure pour la gestion des cas et des contacts Covid-19 en collectivité d’enfants : écoles (services PSE et centres PMS WB-E) Version du 08/09/2021 »

  1. b) Autres activités

Le responsable de la santé et des soins ou le référent COVID doit pouvoir transmettre à tout moment, sur demande, à l’AVIQ ou la COCOM, la liste des participants à l’activité, ainsi que celles des personnes extérieures présentes dans le groupe (pour pouvoir tenir votre registre de présences-obligatoire-, il est indispensable de compléter les informations demandées au verso de la carte d’affiliation du membre).

Covid safe ticket pour les activités des Faucons Rouges ?
Cela dépend des activités…
A partir de quelles dates ?
À partir du 15 octobre (et jusqu’au 15 janvier 2022, en théorie) pour les activités qui ont lieu en Région bruxelloise.
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Date en attente de confirmation pour la Wallonie (1er novembre et a priori jusque janvier 2022).

Mais attention, les règles diffèrent selon le type d’activités.

Activités régulières

  • Pas de covid safe ticket.
  • En extérieur : pas de masque.
  • En intérieur : 
    • Activités en Région bruxelloise : masque obligatoire pour les + de 12 ans.
    • Activités en Wallonie : masque pour les + de 12 ans si l’aération de la pièce est insuffisante.
  • Activité en dehors du lieu de réunion habituelle : respect des mesures du lieu en vigueur (port du masque pour les + de 12 ans si demandé par le lieu d’activité).
  • Intervenants externes (conteur…) : port du masque obligatoire pour les personnes de + de 12 ans extérieures au groupe.

 Tous les participants à une activité doivent être notés sur un registre des présences.

L’accueil des parents est autorisé (pour conduire et venir rechercher les enfants, les jeunes) mais en évitant les attroupements. Il est demandé aux parents de porter un masque et de respecter la distanciation physique.

Activités non régulières

Les activités qui rassemblent un groupe plus large que les membres de la section locale ou les activités organisées une fois par an (Noël Rouge, souper de parents…).

Tous les participants à une activité (y compris les parents) doivent être notés sur un registre de présences.

Le système du covid safe ticket est à mettre en place en fonction du nombre de personnes présentes.

De 0 à 50 personnes : pas de covid safe ticket

• En extérieur (durant toute l’activité) : pas de mesures particulières.
• En intérieur

o Activités en Région bruxelloise : masque obligatoire pour les + de 12 ans.
o Activités en Wallonie : masque pour les + de 12 ans si l’aération de la pièce est insuffisante.

De 51 à 199 personnes

• En extérieur (durant toute l’activité) : pas de mesures particulières.
• En intérieur : covid safe ticket obligatoire pour les 16 ans et +. Il est recommandé de mettre des tests antigéniques à disposition des 12-15 ans. Les organisateurs doivent remplir le CERM et obtenir un « feu vert ». Indépendamment des autorisations communales à obtenir, reste attentif aux règles spécifiques que les bourgmestres pourraient établir.

Plus de 200 personnes

• En extérieur ET en intérieur : covid safe ticket obligatoire pour les 16 ans et +. Il est recommandé de mettre des tests antigéniques à disposition des 12-15 ans. Les organisateurs doivent remplir le CERM et obtenir un « feu vert ». Indépendamment des autorisations communales à obtenir, reste attentif aux règles spécifiques que les bourgmestres pourraient établir.

Comment mettre en place le système du covid safe ticket ?

Comment vérifier le covid safe ticket ?
Il suffit d’installer l’application CovidScan et de scanner le QR code du covid safe ticket de chaque participant dès son arrivée sur le lieu de l’activité.
Qui a le droit de contrôler le covid safe ticket ?
Les organisateurs de l’évènement doivent établir une liste de personnes chargées du contrôle des covid safe tickets. Aucun enregistrement de données n’est autorisé.

Téléchargez l’application aujourd’hui

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